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Emmanuel Lechypre et Laurent Neumann ont participé à l'émission. Ils ont discuté de la situation des marchés financiers et de la motion de censure. Michel Barnier a alerté sur les risques. C'est un sujet crucial qui attire l'attention. Les débats ont été animés et enrichissants.
La présence de ces éditorialistes a apporté une perspective importante. Ils ont partagé leurs analyses et avis sur la situation actuelle. Les auditeurs ont pu suivre les discussions avec intérêt.
Dominique Carlac’h, vice-présidente du MEDEF et présidente de D&C Consultants, et Pierre-René Lemas, président de France Active, ont été les invités. Ils ont débattu du déficit public gigantesque de la France. Bruxelles semble tolérer compte tenu du poids lourd de l’économie française dans l’espace europén.
Le plan d’assanissement budgétaire présenté par Barnier a également été abordé. Ces discussions sont importantes pour comprendre la situation économique française. Elles offrent des perspectives sur les choix à faire.
Guillaume Poitrinal, fondateur de WO2, et Guillaume Richard, président fondateur de Oui Care, ont participé. Ils ont parlé de la question du budget. Le volet recettes du projet de loi de finances 2025 examiné aujourd’hui au Sénat a été abordé.
Le PLFSS, contenant des mesures sensibles pour les entreprises, a également fait l’objet de discussions. Les entreprises sont confrontées à des choix coûteux en matière de charges et de taxes.
Marc Fiorentino, gérant associé d’Euroland Corporate, et Jean-Marc Daniel, professeur émérite à l’ESCP, ont été les invités. Ils ont parlé du départ de Gensler à la tête de SEC et de son impact sur le prix du Bitcoin.
C’est un sujet d’actualité qui a suscité des débats. Ils ont exploré les conséquences de ce changement et ses incidences sur le marché financier.
Chritopher Dembik, conseiller en stratégie d’investissement chez Pictet Asset Management, et Wilfrid Galand, directeur stratégique chez Montpensier Finance, ont été les invités. Ils ont parlé de la hausse des cryptomonnaies depuis la victoire de Donald Trump.
Les résultats de Nvidia ont également été abordés. Ils ont dépassé les attentes, ce qui a eu des répercussions sur l’économie. Ils ont discuté des dommages causés par la politique.
Emmanuel Lechypre et Laurent Neumann sont revenus sur le débat autour de l’électricité. L’Autorité de la concurrence a recommandé de supprimer les tarifs réglementés.
Ils ont également abordé le bilan de l’attractivité de la France sous le mandat d’Emmanuel Macron. C’est un aspect important pour l’économie française.
Dominque Carlac’h et Poerre-René Lemas ont parlé du revu à la baisse du chiffre d’affaires de 49% des entreprises étrangère de leurs investissement dans le pays.
C’est un sujet qui touche directement les entreprises étrangères. Ils ont exploré les raisons de ce recul et les perspectives à venir.
Mathieu Plane, directeur adjoint du département Analyses et Prévisions de l’OFCE, et Hervé Goulletquer, conseiller économique d’Accuracy, ont été les invités. Ils ont parlé des divers mécontentements sociaux actuels.
Des revendications spécifiques comme le Mercosur, le fret et l’absentéisme chez les fonctionnaires ont été abordées. Ils ont également discuté des solutions potentielles telles que la TVA sociale, l’augmentation des frais de notaire et l’arrêt des privatisations dans les transports.
Jean-Marc Daniel et Marc Fiorentino ont parlé de la démographie avec une baisse des naissances dans l’Hexagone.
C’est un sujet important pour l’avenir de la France. Ils ont exploré les conséquences de cette baisse et les perspectives à venir.
La situation financière en Martinique est complexe. La friabilité de la situation politique à Paris et le ralentissement de l’activité économique ont des répercussions directes sur la collectivité territoriale. Arnaud René-Corail souligne les difficultés de boucler le budget en 2025 en raison des sommes dues par l’État pour le RSA. Cette situation a conduit la collectivité à lancer une action en justice pour recouvrer 150 millions d’euros. En même temps, la CTM doit trouver des fonds pour investir et soutenir les communes et les établissements publics. Cela nécessite des emprunts et crée des tensions sur le budget. La perte prévisionnelle de 30 millions d’euros aggrave la situation et met en péril les engagements de la collectivité.
La CTM, en tant que premier contributeur des dépenses publiques, a un rôle crucial. Son budget de 1,7 milliard d’euros a un impact significatif sur le circuit financier. Sa capacité à maintenir les investissements et couvrir les dépenses obligatoires est mise à rude épreuve. Le manque d’injection d’argent par la CTM a des conséquences sur d’autres collectivités, entreprises et familles. C’est une situation précaire qui nécessite une attention particulière.
L’incertitude sur le vote du budget de l’État est une source de préoccupation pour la Martinique. Michel Barnier risque de se trouver en difficulté si son budget n’est pas validé. Un État désargenté a des répercussions sur les territoires d’outre-mer, comme la Martinique, qui dépendent fortement des transferts publics. Les départements réclament également les crédits pour payer le RSA, ce qui aggrave la situation. Nous attendons avec impatience le sort du projet de budget le 2 décembre prochain. Si la motion de censure est adoptée, le gouvernement tombe et le budget 2025 n’est pas validé. Cela aurait des conséquences importantes pour la Martinique et pour les autres territoires d’outre-mer.
La dépendance structurelle de nos économies à l’État nous expose à l’incertitude. 2025 semble être une année difficile, mais il reste possible de voir un retournement positif de la conjoncture. L’économie n’étant pas une science exacte, nous devons être prêts à faire face aux défis et à trouver des solutions pour maintenir la stabilité financière de nos territoires.
Les territoires d’outre-mer, tels que la Martinique, sont fortement dépendants des transferts publics, subventions et aides exceptionnelles. Un État désargenté aggrave cette situation et alourdit le climat social électrique. En Nouvelle-Calédonie, en Guyane, en Guadeloupe et en Martinique, les manque de liquidités ont des répercussions sur la vie quotidienne des habitants. L’économiste Jean-Marie Nol souligne la fragilité de nos économies et la nécessité de trouver des solutions pour réduire cette dépendance. C’est un défi important que nous devons relever pour assurer la viabilité financière de nos territoires.
La situation actuelle est précaire, mais il reste possible de voir un changement positif. Nous devons travailler ensemble pour trouver des moyens de maintenir la stabilité financière et de promouvoir la croissance économique. Les territoires d’outre-mer ont un potentiel important, et nous devons le développer pour faire face aux défis de l’avenir.