Il est important de comprendre que cette réjection a des conséquences importantes pour le pays. Les citoyens attendent que les décideurs trouvent des solutions équitables et durables pour le financement des projets essentiels.
Cependant, les premières discussions ont révélé des divergences inattendues, suscitant la déception du gouvernement. Les sénateurs semblent prêts à défendre leurs propres priorités, ce qui complique la tâche de l’exécutif pour obtenir un consensus. Cette situation souligne les défis politiques auxquels le gouvernement est confronté pour faire adopter son budget dans un contexte législatif tendu.
Il est crucial que les décideurs prennent en compte ces critiques et trouvent des solutions pour améliorer la cohérence de l’impôt et encourager un développement économique sain.
Malgré le fait que les débats budgétaires ne soient pas encore terminés, il est évident que les orientations générales tendent à attribuer à la fonction publique des responsabilités excessives et à la cibler pour de nouvelles mesures intolérables. Depuis un peu plus de 15 ans, nous avons vu des coupes budgétaires et des suppressions d’emplois qui ont touché notre ministère, avec plus de 35 000 postes perdus. Or, cela s’est ajouté à une offensive contre la Fonction Publique, qui semble considérée comme un cible idéale.
Cette offensive repose sur des constatations erronées ou au moins tronquées. Par exemple, le gouvernement veut imposer le déremboursement partiel des arrêts maladie, ajouter deux nouveaux jours de carence et supprimer la Gipa pour 2024 et 2025. Toute cette politique s’appuie sur des comparaisons public / privé fallacieuses, ce qui masque les réalités et les besoins spécifiques de la fonction publique.
Mélangeant absentéisme et maladie, le gouvernement semble vouloir imposer des mesures qui touchent directement la santé et la prise en charge des agents. Cette approche est particulièrement détestable car elle met en péril la santé des fonctionnaires et leur capacité à travailler efficacement. En effet, les agents sont confrontés à une situation où ils doivent choisir entre prendre soin de leur santé ou se conformer aux exigences du gouvernement.
À l’heure où les périls et les défis sont nombreux, il est crucial que nous nous mobilisions ensemble. Diviser les salariés et les fonctionnaires n’est pas la solution. Nous devons travailler ensemble pour défendre nos intérêts et trouver des solutions durables.
Pour le ministre de la fonction publique, le pouvoir d’achat des fonctionnaires n’est considéré que comme une variable d’ajustement. Cependant, nous pensons que les fonctionnaires ont un rôle important à jouer dans la société et que leur contribution doit être valorisée. La journée de grève le 5 décembre est un moyen pour nous de faire entendre notre voix et de demander des choix différents.
Tous et toutes devons participer à cette mobilisation. Nous devons montrer notre solidarité et notre détermination pour défendre nos droits et nos intérêts. C’est une occasion unique de faire valoir notre importance et de demander des réformes justes et équitables.
Depuis des années, la communauté de communes Cœur de Sologne a dû affronter des difficultés pour se préparer à prendre en charge les compétences liées à l'eau potable et l'assainissement. La loi Notre a fixé un premier calendrier pour le 1er janvier 2020, mais la loi relative à la mise en œuvre du transfert de 2018 a reporté le défi à un autre échéance, le 1er janvier 2026. Ce changement a causé des retards et des incertitudes pour la communauté, qui a dû continuer de travailler pour être prête à l'heure fixée.
Christian Mauchien, vice-président en charge du dossier, a joué un rôle important dans la préparation de la communauté. Il a travaillé dur pour convaincre les autres membres du conseil communautaire de la nécessité de se préparer à temps. Son engagement a été crucial pour que la communauté puisse finalement être prête à gérer les compétences à partir du 1er janvier 2025.
Le retard dans le transfert des compétences a eu des conséquences pour la communauté de communes Cœur de Sologne. Les habitants ont dû continuer de vivre avec des services d'eau et d'assainissement qui ne sont pas optimaux. Ils ont également dû subir des retards dans les travaux de modernisation des installations.
Le premier ministre a annoncé un changement à la mi-octobre, ce qui a causé une nouvelle incertitude pour la communauté. Les habitants se demandent maintenant si les travaux seront réellement menés à bien et si ils pourront enfin bénéficier de services de qualité.
Malgré les retards et les incertitudes, la communauté de communes Cœur de Sologne a l'avenir devant elle. Avec la préparation finale en cours, les habitants peuvent espérer bénéficier de services de qualité d'eau potable et d'assainissement à partir du 1er janvier 2025.
Les travaux de modernisation des installations sont en cours et la communauté travaille activement pour améliorer les services. Les habitants sont impatients de voir les résultats et de vivre dans une communauté plus saine et plus propre.