Il a souligné que les décisions prises ne sont pas les seules responsables de la dérive des comptes. Il y a eu des facteurs externes, des événements imprévus qui ont également influencé la situation. Il a demandé à être compris dans le contexte dans lequel il a agi et à ne pas être jugé de manière trop simpliste.
Il a souligné que la coopération est nécessaire pour trouver des solutions aux problèmes. Il a proposé de dialoguer et de trouver des points communs pour progresser ensemble. Il a montré que la division ne peut pas conduire à de bons résultats et que la collaboration est la clé du succès.
Il a souligné que la situation est difficile, mais que c’est possible de trouver des solutions. Il a demandé à l’opinion publique de se montrer attentive et de comprendre les enjeux de la situation. Il a montré que la responsabilité est partagée et que chacun doit jouer son rôle pour construire un avenir meilleur.
Dans le contexte de cette audition, Bruno Le Maire a été mis en présence des députés de la commission des Finances. Ils se trouvaient dans un espace où des questions cruciales sur les causes du dérapage public devaient être abordées. C'est une situation qui a exigé une réponse ferme et claire.
Les pouvoirs accordés à la commission des Finances, tels que les convocations avec obligation et les pouvoirs d'investigation, ont permis d'approfondir l'enquête. C'est une étape importante dans la recherche des réponses aux problèmes économiques.
Bruno Le Maire a lancé des accusations d'«hypocrisie» contre les députés. Il a constaté que, malgré des déclarations de vouloir sauvegarder la situation financière, ils ont pris des décisions qui ont contribué au dérapage public.
Il a mentionné que certains parlementaires se sont précipités au 20 Heures pour annoncer des mesures de revalorisation des retraites, tout en refusant de sortir des mesures exceptionnelles de soutien face au Covid. C'est une attitude qui, selon lui, démontre l'hypocrisie.
Sa diatribe a provoqué quelques gloussements dans la salle. Certains ont jugé ses propos extrêmes, tandis que d'autres ont compris la gravité de la situation.
Le député communiste Nicolas Sansu a ironisé en disant que «la meilleure défense, c'est l'attaque». C'est une réaction qui a montré la complexité des émotions et des opinions dans la salle.
Bruno Le Maire a jugé «très facile» de lui faire porter la «responsabilité de la dégradation des comptes publics en 2023 et en 2024». Il a souligné que tout le monde ou presque s'est aligné sur cette ligne, ce qui est indigne de notre démocratie.
C'est un défi qui nécessite une réflexion profonde sur les choix pris et les responsabilités assumées. La situation est complexe et demande des solutions innovantes.
Lors de l’audiition, Bruno Le Maire a mis en avant son discours offensif. Il a dénoncé “l’hypocrisie” de l’Assemblée nationale, affirmant que le débat sur le budget 2025 et la motion de censure ont fait tomber les masques. “Le débat n’a jamais véritablement porté sur le redressement des comptes de la Nation. Où ont été proposées et documentées des économies durables? Nulle part”, s’est-il agité.
Face aux députés de la commission d’enquête, il a lancé des critiques virulentes. “Vous venez de voter 60 milliards de dépenses supplémentaires dans le budget 2025 et plus de 400 milliards de dépenses supplémentaires dans le budget 2024, et maintenant vous dites vouloir rétablir les comptes publics? C’est de l’hypocrisie!”, a-t-il déclaré.
Bruno Le Maire a également abordé le sujet de la révalorisation des retraites. “Vous vous précipitez au 20h pour annoncer que les retraites seront revalorisées, mais vous dites également vouloir réduire le poids de la dette? C’est une contradiction flagrante!”, a-t-il déploré.
Il a regretté le spectacle des invectives et des menaces verbales lors des séances publiques au palais Bourbon. “Cette année, nous avons dû prendre des décisions d’économies drastiques pour tenir les comptes. Mais vous les avez écartées d’un revers de la main. Qui êtes-vous pour juger?”, s’est-il interrogé.
Il a énuméré les mesures d’économies prises en 2024, telles que les annulations de crédits, la sortie du bouclier tarifaire sur l’électricité, le doublement de la franchise sur les médicaments et la taxation des rachats d’action. “Ces 25 milliards d’euros ont été les seules économies de l’année, mais vous les avez rejetées. Allez-vous maintenant revenir sur ces décisions?”, a-t-il demandé.
Bruno Le Maire a affirmé que l’Assemblée nationale ne veut pas réduire les dépenses publiques, la dette ou proposer de plans sérieux de rétablissement des comptes publics. “Elle a perdu le sens de réalités économiques et budgétaires. C’est une situation intenable”, a-t-il conclu.