Divertissement
"Un candidat surpris par des huées lors de la manche finale de The Cerveau"
2024-12-12
La cérémonie des votes a définitivement déterminé le sort de Greg, qui a été choisi par Kim pour le premier duel éliminatoire. Kim, en remportant deux manches, a réussi à conserver sa place dans la compétition et a éliminé son adversaire. Greg, fidèle à son caractère dynamique, a quitté l'Académie sans prononcer un mot ni un adieu, laissant une sortie aussi frappante que son arrivée.

Le départ de Greg : un soulagement pour Mélanie

Pour Mélanie, le départ de Greg est un soulagement. Libérée des tensions liées à la présence de son ex, elle se sent enfin prête à vivre pleinement l'aventure. Ce nouvel élan lui ouvre la voie vers un début de relation avec Nabil, qui ne tarde pas à montrer son intérêt.

Le rapprochement entre Mélanie et Nabil

Le rapprochement entre Mélanie et Nabil prend une tournure inattendue. Après avoir suggéré qu'il pourrait dormir avec elle, Nabil change d'attitude le lendemain et adopte une posture plus réservée. Ce jeu du chat et de la souris amuse les autres candidats, mais une révélation de Solène vient perturber ce début d'histoire. « Hier, il m'a dit qu'il avait une meuf », lâche-t-elle innocemment, semant le doute chez Mélanie. Cette information pourrait mettre fin à leur relation avant même qu'elle n'ait vraiment commencé, laissant Mélanie perplexe et Nabil sur la défensive.

Les tentatives de Vivian avec Carla

Vivian, de son côté, tente sa chance avec Carla, malgré les avertissements de Beverly : « Carla, chéri, elle ne te regarde pas ». Vivian, armé de son humour et d'un poème improvisé, espère séduire sa camarade de classe. Malheureusement, Carla met rapidement fin à ses espoirs en le « friendzonant ». Pour éviter les tensions, Carla reste bienveillante : « Toi et moi, on peut être super amis ». Vivian encaisse avec son habituelle sens de l'autodérision, mais cette tentative infructueuse marque un autre moment mémorable de l'épisode.

Une nouvelle épreuve pour reconstituer les équipes

La sonnerie retentit, annonçant une nouvelle épreuve orchestrée par la doyenne. Les candidats doivent se soumettre à un test pour désigner les trois cerveaux du jour et reformer les équipes Alpha et Beta. La première manche, qui consiste à citer un mot du dictionnaire commençant par « casse », sème déjà la confusion. Vivian est le premier éliminé, ce qui déclenche l'hilarité des Beta, ravis de l'accueillir dans leur rang. Nicolo suit de près, à la surprise générale : « Je pense que je l'ai trop surévalué Nicolo », confie Benoît, exprimant son étonnement. La compétition s'intensifie entre Mélanie, Maïssane, Julie et Jonathan, qui s'affrontent sur une dernière manche pour déterminer les trois cerveaux du jour. La tension monte dans la salle de test, tandis que les Beta attendent avec impatience la révélation du trio gagnant.

Un candidat évincé sous les huées

Lors de la manche finale, un candidat inattendu perd, suscitant une réaction immédiate des autres participants. Sous les regards médusés, l'évincé est accueilli par des huées : « Bidon! », s'exclament ses camarades, exprimant leur surprise. Cette défaite surprenante redistribue les cartes pour la constitution des équipes. Entre manipulations, flatteries et stratégies, les candidats rivalisent d'ingéniosité pour intégrer l'équipe Alpha et éviter l'élimination.

Les stratégies divergentes pour constituer les équipes

La formation des nouvelles équipes est plus complexe que prévue. Certains cerveaux souhaitent s'entourer des meilleurs pour maximiser leurs chances de victoire, tandis que d'autres privilégient les alliances amicales pour garantir leur sécurité dans le jeu. Vivian, bien que perdant sur le test de la doyenne, ne ménage pas ses efforts pour tenter de réintégrer l'équipe Alpha. En jouant sur les sentiments, il espère convaincre les cerveaux de lui laisser une seconde chance, mais rien n'est encore certain.L'épisode du 12 décembre de The Cerveau marque un tournant dans la compétition. Entre le départ frappant de Greg, les révélations qui mettent en péril les romances naissantes et les stratégies pour reformer les équipes, chaque candidat tente de trouver sa place dans le jeu. Rendez-vous sur M6+ pour découvrir les trois cerveaux du jour, en charge de constituer l'équipe Alpha, dans le replay gratuit du dernier épisode de The Cerveau.
“Il ne doit pas raconter ça” : Laurent Ruquier sur Christophe Beaugrand et les Grosses Têtes
2024-12-12
Depuis dix ans, Laurent Ruquier occupe la place à la présentation des Grosses Têtes sur RTL. C'est un événement célébré par la chaîne avec une série de podcasts. Un épisode particulier, où le présentateur raconte son expérience, verra le jour vendredi 13 décembre. D'après Télé-Loisirs, qui a eu l'occasion d'écouter l'entretien, Laurent Ruquier répond à Christophe Beaugrand, qui aspire à prendre sa place.

Le Passage du Baton

En août 2014, Laurent Ruquier a pris la relève de Philippe Bouvard pour présenter les Grosses Têtes. Il n'a pas l'intention de céder cette place. S'il est retenu par la chaîne, il aimerait rester au moins jusqu'à 2027, quand l'émission atteindra les cinquante ans. "Je le souhaite mais ce n'est pas moi qui peux le dire", a-t-il confié dans un entretien spécial pour ses dix ans d'émission, qui sera diffusé sur RTL le 13 décembre.Il estime qu'il n'est pas encore à l'âge de se retirer. "Je serais bête de ne pas vouloir. Je n'ai que 61 ans. Je n'en suis pas encore à 80. Au moins aller jusqu'aux 50 ans, après on verra. Il peut y avoir des soucis de santé d'ici-là, on ne sait pas ce que l'avenir nous réserve. Si je suis en bonne santé et que les directeurs de RTL sont aussi en bonne santé mentale, alors on ira jusque-là tous ensemble", a-t-il ajouté.

Le Désir de Conserver la Place

Laurent Ruquier a une profonde attache à cette émission. Il ne veut pas laisser sa place à Christophe Beaugrand, qui rêve de présenter les Grosses Têtes et ne l'hésite pas à le dire. "Il ne devrait pas raconter ça", a-t-il répondu à Christophe Beaugrand. "Pas pour moi, parce que par définition, je ne serai plus là. C'est jamais celui qu'on pense qui y est. Il faut faire gaffe à ça. C'est un conseil que je lui donne."Il a précisé que lui-même n'avait pas postulé pour cette place il y a dix ans. "Je sais qu'il y en a beaucoup, au moment de la succession de Philippe Bouvard. Je pense à Stéphane Bern et à quelques autres qui y pensaient", a-t-il confié. "Christopher Baldelli [l'ancien directeur général de RTL], je le remercie encore, est venu me chercher à Europe 1. Je n'ai pas postulé."

L'avenir de l'Emission

Les dix ans de Laurent Ruquier à la tête de l'émission ont été marqués par sa présence et sa personnalité. Son engagement est évident et il souhaite continuer de contribuer à la réussite de l'émission.Malgré les ambitions de Christophe Beaugrand, Laurent Ruquier reste ferme dans sa position. Il sait que l'avenir est incertain mais il est déterminé à faire de son mieux pour maintenir l'émission à un haut niveau.Il est impatient de voir ce que l'avenir réserve pour l'émission et pour lui-même. "On verra ce que l'on va faire. On va voir si on peut continuer ensemble. C'est une histoire qui se joue et on va voir comment ça va se développer", a-t-il conclu.
See More
“Le Maire et les députés : Procès sur le dérapage des finances”
2024-12-12
L’ex-ministre de l’Économie Bruno Le Maire a subi une sévère enquête parlementaire le jeudi 12 décembre. Durant plus de quatre heures, il a été mis en cause sur les erreurs de prévisions des recettes fiscales et des déficits budgétaires pour les années 2023 et 2024. Cette rencontre a dépassé le cadre technique et s’est transformée en un procès de la politique de l’offre et de la sacralisation des baisses d’impôts.

Tagline : Le débat passionné sur les dérapages des finances publiques

Le dérapage non-contrôlé

L’ex-ministre a été grillé par les parlementaires. Ils ont pris du temps pour l’auditionner, ce qui a détourné l’attention de l’aspect technique. Bruno Le Maire s’est indigné, se demandant qui avait le droit de juger. Mais Eric Ciotti a répondu que les parlementaires sont les représentants du peuple et ont le devoir de contrôler. Cette passe d’armes a marqué le ton des débats suivants, qui ont été plus un déferlement généralisé que la mise en avant de nouveaux éléments de preuve. En effet, les notes envoyées par ses équipes ont déjà été examinées lors de deux commissions précédentes.

La commission du jeudi 12 décembre sur les causes des variations des prévisions fiscales et budgétaires a été plus politique que technique. Bruno Le Maire a essayé de attribuer la dérive des comptes publics à des facteurs extérieurs à son action, tels que le Covid, le contexte géopolitique, la dissolution de l’Assemblée nationale et la censure du gouvernement Barnier. Mais ses détracteurs n’en ont pas été satisfait.

Dialogue de sourds

Malheureusement, les discussions ont souvent été vaines. Bruno Le Maire a défendu son bilan et promu sa vision de l’économie, sans écouter les parlementaires. Il a harangué la foule comme s’il était en campagne, ce qui n’a pas plu aux représentants. Par exemple, lorsqu’il a refusé de répondre à une question sur les aides versées au géant du médicament Sanofi, il a montré son mépris pour les parlementaires.

Avec le député ciottiste Gérault Verny, il a poussé l’humiliation jusqu’au physique. C’était gratuit et n’a pas apporté de valeur aux débats. Les coups qui ont plu ont été souvent gratuits et n’ont pas contribué à trouver des solutions.

Un détracteur chevronné

Le député Liot Charles de Courson a mis en perspective les dérapages des finances locales. Il a montré que les prévisions initiales étaient irréalistes et que les résultats étaient différents. Il a interrogué Bruno Le Maire sur la grave erreur technique d’évaluation des recettes et a demandé des explications. Mais la défense du ministre a été décevante. Il a laissé les services se charger des recettes et a essayé de dédouaner lui-même.

Il a affirmé que le ministre fixe le niveau de croissance, mais que les nouvelles conditions géopolitiques ont gêné les résultats. La faute a été attribuée au Covid et aux Russes. Mais cela n’a pas satisfait les parlementaires.

Procès du macronisme

À chaque prise de parole, la politique menée depuis sept ans a été critiquée. Bruno Le Maire a été accusé de croire au ruissellement et d’avoir mal baissé l’impôt. Eric Coquerel a dénoncé sa logique et a montré que les avantages fiscaux n’ont pas eu les effets attendus. Il a porté l’estocade au ministre et a critiqué sa politique.

Bruno Le Maire a tenté de défendre sa politique, mais il a admis que la France n’était pas redevenue une grande nation industrielle en sept ans. Il a reconnu que la France a évité la récession, mais a regretté que l’on n’ait pas pu aller plus loin dans les économies et la réorganisation des dépenses publiques.

See More