En outre, la ministre britannique insiste sur la nécessité de supprimer les obstacles au commerce. Elle croit que cela permettra aux entreprises de se développer et de trouver de nouvelles opportunités sur les marchés de l'UE et du Royaume-Uni. Les relations commerciales sont essentielles pour la croissance économique de tous les pays.
La défense du libre-échange est également un aspect clé de la relation entre Bruxelles et Londres. Rachel Reeves va défendre cette valeur et trouver des moyens de l'encourager. Le libre-échange favorise la concurrence et la création d'emplois, ce qui est bénéfique pour tous.
Le gouvernement travailliste de Keir Starmer s'engage à établir des relations plus constructives avec l'UE. Rachel Reeves va contribuer à ce processus en mettant en œuvre des mesures pour renforcer les liens économiques.
Après Bruxelles, Rachel Reeves se rendra en début d'année à Pékin. C'est un signe de l'importance qu'elle accorde à l'Asie et aux relations économiques internationales. Elle aimerait voir des échanges commerciaux et des investissements croître entre le Royaume-Uni et la Chine.
Elle va discuter avec eux des questions liées aux finances, aux échanges commerciaux et aux relations économiques. Ces discussions seront essentielles pour la poursuite du développement économique de l'Union européenne et du Royaume-Uni.
En parallèle, Keir Starmer se rendra lundi en visite aux Émirats arabes unis puis en Arabie saoudite. Son objectif est d'attirer des investissements de ces États pétroliers au Royaume-Uni. C'est une autre étape importante dans la stratégie de développement économique du pays.
Étienne Bracq, journaliste BFM Business, a participé à l'émission. Il apporte sa vision spéciale sur les questions d'investissement. Jean-Louis Cussac, trader pour compte propre chez Perceval Finance Conseil, a également été présent. Son expérience dans le domaine du trading est précieuse. Michel Delobel, gérant de portefeuille sous mandat MW Gestion, a partagé ses connaissances sur la gestion des portefeuilles. Albert d’Anthoüard, directeur général adjoint de Nalo, a apporté une perspective différente. Gustav Sondén, cofondateur de Colbr, a enrichi l'émission avec son expertise. Nicolas Doze, éditorialiste BFM Business, a offert ses analyses et idées. Thomas Veillet, chroniqueur, rédacteur, auteur, YouTubeur et écrivain d’Investir.ch, a ajouté une dimension multimédia. Julien Nebenzahl, gestionnaire de solutions patrimoniales chez eToro, a apporté sa contribution.
Antoine Fraysse-Soulier, responsable de l’analyse des Marchés chez eToro, et Éric Lewin, président d’EL Finance, ont également participé. Ils ont partagé leurs idées et analyses sur l'investissement. Marie Coeurderoy, journaliste BFM Business, a abordé différents sujets, comme l'état du marché immobilier en fin d'année. Thierry Vignal, expert en investissement locatif, a complété l'image avec ses connaissances. Olivier Janoray, associé chez Arsène Avocats, a apporté une perspective juridique.
Les invités ont répondu aux questions des auditeurs sur l'investissement. Ils ont donné des idées de valeurs, secteurs et matières premières. Aujourd'hui, ils ont partagé leurs connaissances pour aider les investisseurs.
En outre, Nicolas Doze a abordé les conséquences de l'absence de budget en 2025 dans sa chronique Doze d’économie. Il a exploré les incertitudes et les perspectives à venir.
Chaque jour, le coaching financier a aidé les investisseurs à devenir meilleurs. Il a offert des conseils et des outils pour améliorer la gestion des investissements.
Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez-la en podcast pour continuer de profiter des connaissances des invités.
Par exemple, il a étudié de manière approfondie les dépenses courantes de la commune et a identifié des domaines où des économies pouvaient être réalisées sans compromettre les services essentiels. Il a également exploré des possibilités de collaboration avec d’autres municipalités pour partager des ressources et des services.
En outre, il a mis en place des processus de contrôle budgétaire rigoureux pour s’assurer que les dépenses étaient justifiées et que les ressources étaient utilisées de manière efficace. Cela a permis de détecter rapidement des dérives et de prendre des mesures correctives en temps voulu.
Il a également encouragé la participation des citoyens dans la gestion budgétaire. En organisant des consultations et des débats publics, il a permis aux habitants de s’exprimer sur les priorités et les choix budgétaires. Cela a permis de mieux comprendre les besoins des citoyens et de trouver des solutions qui conviennent à tous.
Enfin, il a investi dans la technologie pour améliorer la gestion des données et la productivité. En utilisant des logiciels de gestion budgétaire avancés, il a pu suivre les dépenses en temps réel, générer des rapports analytiques et prendre des décisions plus informées.
Les économies réalisées ont été investies dans des projets de développement durable, tels que l’amélioration de l’infrastructure énergétique ou la création de zones vertes. Cela a non seulement bénéficié à la communauté, mais a également contribué à la réduction des émissions de gaz à effet de serre.
En outre, la transparence et l’efficacité de la gestion budgétaire ont été améliorées, ce qui a renforcé la confiance des citoyens dans le gouvernement local. Olivier Rognard a montré que avec une gestion intelligente et une volonté de travailler ensemble, il est possible de faire plus avec moins.