En 2021, lors de l'évaluation fiabilisée du patrimoine routier, les équipes ont commencé par dissocier les différents composants des routes. Cela a inclus le terrasse-ment, les équipements, les ponts et les murs de soutènement, ainsi que les revêtements de surface. Chaque composant a été évalué séparément, ce qui a permis une analyse plus précise des besoins de maintenance et de développement des routes. Par exemple, le terrasse-ment a été évalué en fonction de sa stabilité et de sa résistance aux intempéries. Les équipements ont été examinés pour s'assurer de leur état de fonctionnement et de leur conformité aux normes. Les ponts et les murs de soutènement ont été évalués pour identifier les éventuelles détériorations et prendre des mesures de prévention. Enfin, les revêtements de surface ont été évalués pour déterminer leur état de conservation et leur durée de vie.
Cette dissociation des composants a permis de ventiler le prix au kilomètre de chaque composant. Le prix a été défini sur la base d'un équipement-étalon et de la déviation par rapport à cet équipement. Cela a permis de mieux comprendre les coûts associés à chaque composant et de planifier les travaux de maintenance et de développement de manière plus efficace. Par exemple, si un pont a une déviation importante par rapport à l'équipement-étalon, il peut nécessiter des travaux de réfection plus importants et coûteux. En revanche, si un revêtement de surface est en bon état, il peut être maintenu plus longtemps sans nécessiter de travaux de remplacement.
L'évaluation fiabilisée du patrimoine routier a eu un impact significatif sur la gestion des infrastructures routières du département du Rhône. Grâce à cette évaluation, les responsables de la gestion des infrastructures peuvent maintenant mieux comprendre les besoins de maintenance et de développement des routes. Ils peuvent planifier les travaux de manière plus efficace et prioritaire, en fonction des besoins des usagers et des contraintes budgétaires. Par exemple, si un tronçon de route a un taux élevé de détérioration, il peut être prioritaire pour les travaux de réfection. Si un autre tronçon de route est en bon état, il peut être maintenu plus longtemps sans nécessiter de travaux de remplacement.
Cette évaluation a également permis de mieux gérer les coûts associés aux travaux de maintenance et de développement des routes. En dissociant les composants des routes et en ventilant le prix au kilomètre, les responsables de la gestion des infrastructures peuvent mieux comprendre les coûts associés à chaque composant et planifier les travaux de manière plus efficace. Ils peuvent également identifier les possibilités de rationalisation des coûts et de trouver des solutions de coût-efficacité.
L'Afigese, l'Association finances, gestion et évaluation des collectivités territoriales, a joué un rôle important dans l'évaluation fiabilisée du patrimoine routier. L'association a fourni des expertise et des ressources pour l'évaluation et a collaboré avec les responsables du département du Rhône pour assurer la fiabilité de l'évaluation. Elle a également aidé les responsables de la gestion des infrastructures à comprendre les résultats de l'évaluation et à planifier les travaux de manière plus efficace.
Grâce à la collaboration avec l'Afigese, le département du Rhône a pu améliorer la qualité de l'évaluation et la fiabilité des résultats. L'association a apporté une expertise extérieure et une perspective différente, ce qui a permis de voir les choses sous un autre angle. Elle a également aidé les responsables de la gestion des infrastructures à identifier les possibilités de développement et d'amélioration des infrastructures routières.
Cette situation a un impact significatif sur l'État et sur la société. Il est donc essentiel de comprendre les enjeux liés à la loi de finances et de trouver des solutions pour gérer les budgets de manière efficace.
Le texte passe ensuite en commission des finances, puis s'ouvre la phase de débats et de votes. Pour la première fois de son histoire sous la Ve République, l'Assemblée nationale a rejeté la première partie du PLF. Le texte a donc été envoyé au Sénat. Maintenant, les deux chambres disposent de 70 jours pour examiner et voter le PLF. La navette parlementaire doit prendre fin le 21 décembre.
Cet aspect chronologique est crucial pour comprendre le déroulement de la loi de finances et pour suivre les étapes successives.
Des mesures de maîtrise budgétaire de 60,6 milliards d'euros sont proposées dans le projet de loi. Ces mesures sont essentielles pour gérer les finances publiques et pour assurer le développement économique.
Cette approche permet de faire face aux défis économiques et sociaux.
– Plusieurs mesures pérennes visent à soutenir le monde agricole face aux enjeux du changement climatique et du renouvellement des générations.Cela contribue à la souveraineté alimentaire de la France.
– En matière énergétique et de transports, plusieurs taxes sont rehaussées.Cela a un impact sur les coûts et sur le développement de ces secteurs.
– La fiscalité des locations de meublés est modifiée.Cela a des conséquences sur le marché immobilier et sur les revenus des propriétaires.