Il a mis en place des règles et des normes strictes pour garantir la qualité du jeu et la sécurité des joueurs. Grâce à ces efforts, les joueurs peuvent se développer et se perfectionner dans un environnement sûr et stimulant.
En outre, l’EHF collabore avec des partenaires locaux et nationaux pour promouvoir la compétition et attirer un public plus large. Il organise des événements parallèles, telles que des ateliers et des conférences, pour promouvoir le handball féminin et la culture sportive en Europe.
Les joueurs ont montré un niveau de jeu exceptionnel, avec des performances spectaculaires et des combats acharnés. Les équipes ont travaillé dur pour atteindre ce niveau et ont démontré leur détermination et leur passion pour le sport.
Les matchs ont également permis de voir le développement du handball féminin en Europe. Les jeunes joueurs ont eu l’opportunité de se développer et de se faire connaître en compétition avec les meilleures équipes du continent.
Les équipes doivent se battre contre d’autres équipes européennes pour gagner des points et de se qualifier. Ce processus est long et difficile, mais il permet aux meilleures équipes de se qualifier et de participer à la compétition principale.
Les qualifications ont également permis de voir le développement du handball féminin en Europe. Plus de jeunes joueurs ont eu l’opportunité de se développer et de se faire connaître en compétition, ce qui a contribué à l’amélioration du niveau du jeu.
Les épreuves de vitesse commencent avec la descente messieurs le vendredi et le super-G le samedi. Cette nouvelle réglementation a divisé les skieurs. Adrien Théaux, doyen de l’équipe de France de descente, estime que l’évolution dans le domaine de la sécurité sportive est nécessaire. Il rappelle que d’autres sports, comme la Formule 1 avec le halo, ont également évolué pour améliorer la sécurité.
Le gilet airbag a été utilisé depuis près de 10 ans, d’abord dans le skicross puis dans le ski alpin. Bien que nombre de skieurs l’utilisent en compétition et à l’entraînement, certains restent sceptiques quant à son efficacité. Malgré l’obligation cette saison, la FIS a accordé 38 exemptions.
La Fédération internationale de ski (FIS) a homologué deux marques de gilet airbag cette saison. Ce produit fonctionne grâce à des algorithmes prédictifs embarqués qui détectent la chute et déclenchent le gonflage de l’airbag en moins d’un dixième de seconde avant l’impact au sol. Associé au casque, il protège les zones sensibles en cas de chute et peut éviter de graves blessures.
Mais l’utilisation du gilet n’est pas sans inconvénients. Roland Assinger, entraîneur en chef des skieurs autrichiens, souligne que les gilets peuvent être dérangeants pour certains skieurs en fonction de leur taille. Michel Vion, ancien président de la Fédération française de ski et maintenant secrétaire général de la FIS, parle d’un grand nombre d’évolutions pour améliorer le confort.
Gianluca Rulfi, chef de l’équipe féminine italienne, est très dubitatif sur l’airbag. Il estime que le coût et les avantages ne sont pas proportionnés. Actuellement, le coût d’un gilet d’airbag peut aller de 650 à 1 000 euros. D’autres skieurs s’inquiètent également de l’aérodynamisme et du temps perdu à l’arrivée de la descente. Mais Michel Vion dément ces arguments, affirmant que les airbags ne nuisent pas à la performance.
Adrien Théaux, à 39 ans, est satisfait de porter l’airbag depuis de nombreuses années. Il regrette que certains de ses homologues refusent de le porter. Il estime que les skieurs ont des rapports différents à la sécurité en fonction de leurs expériences.
Xavier Fournier-Bidoz, responsable de l’équipe de France masculine de vitesse, estime que l’obligation avec des exemptions pose des problèmes d’équité. La FIS travaille sur l’utilisation des sous-vêtements techniques “anti-coupures” fortement recommandés, qui devraient être obligatoires à partir de la saison 2025-2026.
Dans ce sport dangereux où les vitesses peuvent atteindre plus de 160 km/h, les mesures de sécurité sont essentielles. Bien que peu de choses aient changé après le décès de David Poisson en 2017, l’essentiel est de protéger les skieurs. L’effort de la FIS avec l’airbag va dans le bon sens, mais les exemptions posent des questions.