Tagline : L'Avantage Perdu et la Course Continue
Le Détail de l'Avantage Perdu
Le skippeur Sébastien Simon, actuel deuxième du classement du Vendée Globe, a découvert que son foil tribord était cassé. Cet appendice, fixé sur la coque et immergé, est crucial pour augmenter la vitesse du bateau. Lorsqu'il a constaté la cassure, le vent venait de tribord et le bateau s'appuyait sur le foil bâbord. Malheureusement, cette avarie signifie qu'il va perdre environ 30% de vitesse sur ce côté. "J'étais en train de dormir et ça m'a réveillé. Je suis allé dans le cockpit pour redresser le bateau et j'ai vite senti que quelque chose ne marchait pas. Le foil est cassé au niveau du coude, la partie la plus courbée. Je n'en ai aucune idée de comment cela s'est produit.", explique-t-il avec déception.L'Impact sur la Course
Avant cette avarie, Sébastien Simon avait regagné quelques milles nautiques sur le leader Charlie Dalin et pointe désormais à 252,5 milles d'écart. Cependant, avec cette détérioration de son bateau, il est confronté à un défi supplémentaire. Ses poursuivants accusent un retard plus important : 515,4 milles pour Yoann Richomme (Paprec-Arkea) et 613,1 milles pour Thomas Ruyant (Vulnerable). Malgré cela, le skippeur continue de lutter pour atteindre son objectif. "Heureusement, l'autre foil est intact et nous pouvons continuer la course. Nous allons faire de notre mieux pour rattraper le leader.", affirme-t-il avec détermination.La Persévérance du Skieur
Sébastien Simon a toujours montré une grande persévérance dans sa carrière. Malgré cette défaite, il ne s'est pas démotivé. "Nous allons trouver une solution pour réparer le foil et continuer la course. C'est une partie importante de notre aventure et nous ne la quitterons pas si facilement.", déclare-t-il. Son esprit d'équipe et sa détermination sont les clés pour surmonter cette difficulté et poursuivre la course.Tagline : "Découvrez comment les Palois ont remporté ce match imprévisible."
Journée 1 : Le Résumé du Match
Les Palois ont montré une force et une détermination impressionnantes. Durant la seconde période, ils ont inscrit trois essais, marquant leur domination sur le terrain. Pau a lancé parfaitement son aventure européenne, avec Aaron Grandidier Nkanang, champion olympique, marquant en premier en bout de ligne. Jimi Maximin a ensuite suivi suite à une mésentente dans la défense anglaise. Le talonneur Youri Delhommel a marqué le troisième essai après une course d'une vingtaine de mètres, grâce à une passe parfaite de Thomas Jolmes.
En revanche, Newcastle a fait parler la puissance de son pack en marquant trois essais par ses avants, dont deux sur ballon porté. Toutefois, les Palois ont su se tenir au niveau et ont montré leur valeur en compétition.
Le Voyage Vers l'Afrique du Sud
Après cette victoire, les Palois doivent se préparer à un long et fatiguant voyage vers l'Afrique du Sud. Ce sera un défi pour eux, mais ils sont prêts à affronter les Lions avec la même détermination. Ils ont appris beaucoup de ce match et seront prêts à appliquer cela dans leur prochain combat.
Ce voyage vers l'Afrique du Sud représentera une nouvelle étape dans leur aventure européenne et une occasion pour eux de s'affirmer encore plus.
Le Dossier « Project Snow »
Il y a quelques jours, les médias allemand Süddeutsche Zeitung et suisse Blick ont révélé ce dossier, qui fait beaucoup de bruit dans le milieu du ski alpin et des autres sports d’hiver. Le fonds CVC, connu pour ses opérations controversées en France avec la LFP et actif en Formule 1, a proposé d’investir 400 millions d’euros sur la commercialisation des droits des sports d’hiver en échange d’une participation de 20 %.
Malgré l’offre, la FIS a indiqué être « très bien capitalisée » et sans besoin financier pour mettre en œuvre de nouvelles stratégies. Depuis son élection en 2021, le président Johan Eliasch veut centraliser les droits TV au niveau de la FIS et les redistribuer aux fédérations nationales, ce qui a agacé certaines d’entre elles.
Le Refus de la FIS
Après le refus de l’offre de CVC, une lettre ouverte a été envoyée à la FIS et Eliasch. Cette lettre a été signée par plusieurs membres du Conseil de la FIS, y compris des représentants de grosses fédérations et de nombreuses têtes d’affiche du Cirque blanc. Ils demandent à la FIS de reconsidérer le refus et d’entamer un « dialogue constructif ».
Dans la lettre, il est indiqué que de nombreuses tâches esquissées dans la proposition de CVC n’ont pas encore été accomplies, notamment dans le domaine du commerce, du marketing et du développement des produits. Michel Vion, le secrétaire général de la FIS, a été contacté, mais sans résultat pour le moment.
La Position de la Fédération Française de Ski
Fabien Saguez, président de la Fédération française de ski et membre du Conseil de la FIS, indique que personne ne l’a sollicité pour signer la lettre ouverte. Il semble que la situation soit complexe, avec des divergences d’opinions entre les différentes parties.
Les sports d’hiver font face à des défis, notamment en termes de pénétration hors de leur bastion européen et de la faible croissance. Le projet de CVC offrait l’opportunité d’une évolution, mais la FIS a choisi de se tenir sur ses positions.