Currencies
Dollar gains as Trump demands BRICS not use alternative currencies
2024-12-02
The dollar witnessed a significant surge on Monday, with the potential for U.S. rate cuts emerging as a key focus during what is anticipated to be a crucial week. News.Az reports, citing Reuters, that the currency received verbal support from U.S. President-elect Donald Trump, who took the markets by surprise with a change in tone. On Saturday, Trump demanded that BRICS member countries refrain from creating a new currency or supporting an alternative that could replace the dollar, otherwise facing 100% tariffs. This marked a departure from his previous stance of advocating a weaker dollar to combat trade wars. As a result, the Chinese yuan quickly dropped to a three-month low at 7.2662 per dollar, and the Indian rupee hit record lows.

Political Uncertainty and the Euro

Political uncertainty in France added to the pressure on the euro, which slipped 0.4% to $1.0532. After bouncing 1.5% last week and moving away from a one-year trough of $1.0425, the euro faced further challenges. This saw the dollar index edge up to 106.170, having closed November with a 1.8% gain despite a setback last week.Economist's PerspectiveJonas Goltermann, deputy chief markets economist at Capital Economics, stated that given the ongoing resilience of the U.S. economy and a deteriorating outlook elsewhere, they do not believe this is the beginning of a more significant setback for the dollar. However, he added that the threshold for a further shift in expected interest rates in favor of the U.S. in the near term is quite high. In their view, a period of consolidation into year-end appears to be the most likely scenario, although the risks still lean in favor of the dollar over the course of 2025.November Payrolls Report and the FedKey to the outlook for rates is the November payrolls report due on Friday. Median forecasts suggest a rise of 195,000 following the weather and strike-hit October report. Given the low response rate for that survey, the report could also be revised. The jobless rate is expected to edge up to 4.2% from 4.1%, which should keep the Federal Reserve on track to cut rates by 25 basis points on December 18. Markets imply a 65% chance of such an easing, but they only have two more cuts priced in for all of 2025.Other Data and Fed OfficialsA host of Fed officials are scheduled to speak this week, including Fed Chair Jerome Powell on Wednesday. Other data releases include surveys of manufacturing and services. These will provide additional insights into the economic landscape and the potential direction of rates.
"Pierre Moscovici Alerte sur Conséquences d'une Motion de Censure"
2024-12-02
Dans un contexte où le RN semble s’engager dans un vote de censure contre le gouvernement, le président de la Cour des comptes se met en garde sur les conséquences potentielles. Pierre Moscovici, un personnage clé dans cette affaire, a dévoilé des aspects importants.

Tagline : Alerte sur les Conséquences du Vote de Censure

Le Vote de Censure et son Impact

Lorsque le RN ouvre la voie au vote de censure, il entraîne une phase plus incertaine. Comme le souligne Pierre Moscovici, "Avec une motion de censure, on rentre dans une phase plus incertaine et l’incertitude est toujours quelque chose un peu préoccupant en matière financière". Actuellement, la situation financière de la France est dangereuse et préoccupante. On compte 3.200 milliards de dettes et un ratio de dette publique de 110% du PIB, alors que les partenaires ont 85% et une charge de la dette qui atteindra 70 milliards d’euros l’année prochaine contre 25 milliards d’euros il y a quelques années. Il est donc crucial de réduire les déficits et maîtriser la dette.Après un exercice 2024 qualifié d'”année noire” en raison d’un déficit passé de 4,4% du PIB en prévision à 6,1%, Pierre Moscovici appelle à “mettre le frein”. L’objectif du PLF, qui est examiné par l’Assemblée, de 5% de déficit doit être atteint et recherché.

Les Conséquences de l’Expédient Spécial

Si les institutions de la cinquième République prévoient une loi spéciale pour les impôts et les dépenses, cela pourrait avoir des conséquences lourdes. Comme le précise le président de la Cour des comptes, "Comme le barème de l’impôt n’est plus indexé sur l’inflation à ce moment-là, à peu près 400.000 foyers modestes rentrent dans le barème de l’impôt et plusieurs millions voient leur impôt augmenter". De plus, la France ne pourra pas engager de nouvelles dépenses nécessaires, comme en matière de défense et de sécurité intérieure. Enfin, la dette et les déficits ne seront pas réduits. "Si on a une loi spéciale, il faudra quand même avoir assez vite un projet de loi de finances sinon c’est très ennuyeux pour la situation de la France", souligne-t-il.

La Critique de la Posture du Rassemblement National

Pierre Moscovici critique la récente posture adoptée par le Rassemblement national. "Ils demandent des concessions qui dégradent le déficit puis reprochent au gouvernement de ne pas le combler". Selon lui, pour maîtriser un déficit, il est mieux de faire des économies en dépenses. "On peut faire les impôts une fois mais deux fois : bonjour les dégâts et ça a des conséquences sur l’économie". Il est donc nécessaire de basculer sur l’autre mode, celui d’économies en dépenses. "Ce n’est pas une année difficile mais 4 ou 5 années d’efforts".Le Sage de la rue Cambon invite à sortir d’une “politique budgétaire expantionniste” qui a duré “un peu moins d’une décennie” en réduisant “constamment” les déficits mais sans que ces économies soient synonymes de “rabot”. "Pour faire des bonnes économies, il faut y réfléchir, les penser et les appliquer et ça nécessite un exercice plus structurel".
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Maud Bregeon : Pas de déremboursement de médicaments dans le projet de loi de Sécurité sociale
2024-12-02
Le gouvernement est confronté à une situation critique avec la censure potentielle de son projet de loi de finances de la Sécurité sociale. Maud Bregeon, la porte-parole du gouvernement, a rappelé que ce projet ne prévoyait aucun déremboursement de médicaments et de consultations. C'est une information importante qui a attiré l'attention dans la Grande Interview de Sonia Mabrouk sur CNEWS ce lundi.

Le contexte de la situation

La censure du gouvernement est un événement majeur qui a des répercussions sur de nombreux aspects de la société. Dans le contexte de la Sécurité sociale, le manque de déremboursement de médicaments et de consultations est une préoccupation pour les citoyens. Ils attendent des solutions pour couvrir les coûts de leurs soins médicaux.

Cette situation met en lumière les défis que le gouvernement doit affronter pour assurer la viabilité de la Sécurité sociale et la santé des citoyens. Il est essentiel que des décisions soient prises pour trouver des solutions à ce problème.

Les conséquences pour les citoyens

Les citoyens sont les premiers touchés par le manque de déremboursement. Ils doivent se charger des coûts de leurs médicaments et consultations, ce qui peut être une charge financière lourde pour certains. Cela peut également affecter leur accès aux soins médicaux et leur santé en général.

Par exemple, un patient chronique qui doit prendre des médicaments réguliers peut être confronté à des difficultés financières si il ne reçoit pas de déremboursement. C'est une situation qui peut avoir des conséquences sur sa qualité de vie et sa santé à long terme.

Les réactions du gouvernement

Le gouvernement a été mis en difficulté par cette situation. Il doit trouver des moyens de répondre aux attentes des citoyens et de trouver des solutions pour le déremboursement des médicaments et des consultations. Cependant, il doit également faire face aux contraintes budgétaires et aux autres priorités de la politique.

Les responsables du gouvernement sont en train de travailler sur des solutions pour résoudre ce problème. Ils doivent trouver un équilibre entre les besoins des citoyens et les contraintes budgétaires. C'est une tâche difficile, mais essentielle pour la santé et la sécurité des citoyens.

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